Il faut dire que, depuis un bout de temps, le blogue est resté inactif. Quelques projets qui me tenaient à cœur ont accaparé mes heures libres. Je ne vous ai pas oublié, la preuve en est que j’ai répondu un par un à chaque message que vous m’aviez fait parvenir. Que ce soit une question, des compliments ou des propositions d’articles, votre cher serviteur a traité de son mieux chaque requête.
Qui ne s’est jamais retrouvé devant une panne d’inspiration ? Vous connaissez bien l’exigence du métier d’auteur, les dilemmes moraux auxquels vous êtes confronté, stylo en main. Dois-je préférer le point de vue omniscient au point de vue interne rapporté à la première personne ? Dans quelles circonstances mon protagoniste rencontre-t-il l’antagoniste ? Ou bien quels traits de caractère donner à mon héroïne ? Autant de questions qui peuvent mener à l’hésitation voire au blocage. Seulement, le syndrome de la page blanche est synonyme de perte de motivation, de perte de repères.
Si vous vous reconnaissez dans les lignes ci-dessus, cet article est alors fait pour VOUS. En fait, par sa grande expérience, Stanley Kubrick, le réalisateur américain auquel Vince Gilligan, le papa de Breaking Bad, faisait mention dans un article précédent, peut bien aider à surmonter les pannes d’inspiration et améliorer la construction de vos intrigues. (Le réalisateur est décédé il y a quinze ans, jour pour jour. Donc, considérez ces lignes comme un hommage sincère.)
Pour ceux qui ne connaissent pas le monsieur, parmi ses films les plus marquants, citons Lolita, Docteur Folamour, 2001, l’Odyssée de l’espace, Shining ou encore Full Metal Jacket.